Je m’appelle Fred Delacave, batteur depuis plus de quarante ans, amoureux du son et du partage.
Je suis de ceux qui entendent un groove avant même de le jouer, qui peuvent passer deux heures à comparer le rebond d’une baguette ou le timbre d’une cymbale. Oui, je suis ce genre de passionné.

Avant d’ouvrir La Cave à Cymbales, j’ai passé ma vie à chercher le son juste : celui qui résonne avec ton jeu, ton énergie et ton identité musicale. J’ai arpenté les studios, les scènes, les ateliers d’artisans. J’ai appris à écouter le bronze, à sentir la différence entre un alliage B20 et B27, à reconnaître une cymbale qui “chante” d’une autre qui s’éteint trop vite. Tout ça, c’est de l’expérience que je mets aujourd’hui au service des batteurs.

La Cave à Cymbales, c’est mon projet de cœur.
Un lieu atypique, installé dans les ateliers du Château de Clermont au Cellier, à quinze kilomètres de Nantes.
Un cadre chargé d’histoire (celui de Louis de Funès !), où j’ai voulu créer un espace chaleureux, humain et musical.
Ici, on prend le temps. Pas de vente à la chaîne, pas de vitrines glacées : juste un endroit où l’on parle de son, d’émotion et de groove.

Mon métier, c’est d’aider les batteurs à trouver leur son.
Je t’écoute jouer, je t’observe frapper, je t’aide à comprendre ce que ton oreille cherche vraiment. Ensemble, on teste, on compare, on assemble.
Parce qu’une cymbale, ça ne se choisit pas sur un site web : ça se rencontre.

Je travaille avec les plus grandes marques — Zildjian, Meinl, Sabian, Paiste, Murat Diril, entre autres — mais je sélectionne chaque modèle à la main. Certaines pièces sont neuves, d’autres sont des trouvailles millésimées ou des éditions rares. Ce que j’aime, c’est te voir découvrir “la bonne”, celle qui te parle dès la première frappe.

Alors oui, je vends des cymbales, des baguettes, des accessoires… mais surtout, je vends du plaisir de jouer.
Mon vrai métier, c’est de faire sonner les gens, de leur redonner l’envie de taper, de groover, d’écouter le bronze vibrer.
Bienvenue à La Cave à Cymbales, là où chaque batteur repart un peu plus inspiré qu’en arrivant.